Les secrets doivent le rester
Enfin c'est fini..... On débarrasse les dernières assiettes... on fait sortir les derniers invités... Et je me retrouve seul avec ma soeur... Et les derniers souvenirs de ma mère fraîchement ensevelis... Pourquoi nous parlait-elle de nos ancêtres?
"Gare aux ancêtres!" délirait-elle
Ma soeur avais pris une clef qu'elle tenait fortement dans sa main... Une petite clef dorée... Quelle porte pouvait-elle ouvrir? Quelle serrure voudrait de cette petite chose usée par le temps..? Quelques jours plus tard, On commença à déménager la grande maison familiale... Toute notre jeunesse passait par la grande porte pour terminer sur le trottoir ou des passants peu scrupuleux prenaient le moindre truc pour se faire du blé sur les brocantes.
"C'est bon! Tout est vide mais y'a une porte au grenier qu'on peut pas ouvrir!" me dit un gars bien grassouillet et pleurant du front le poids des objets sans âmes...
La clef! Ma soeur et moi montons donc au grenier... elle glissa la clef dans la serrure de cette minuscule porte...."clic!" Une sorte de "dépressurisation" se fit! Une odeur de "vieux" parvint à mes narines. C'était une pièce dans une pièce. Pas de fenêtre. Des dizaines de tableaux accrochés au mur, une table vermoulue, un vieux tourne-disque avec sur le coté un disque. Tout noir, pas de collant avec le nom d'un auteur quelconque... Un sillon parfait.... Il était de cire... Ma soeur bidouilla l'objet et, parmi des touffes de poils, trouva une petite manivelle. Quand le tourne-disque se mis en route, la porte se referma! Un son strident sortit du haut parleur, mais ma soeur elle n'entendait rien! Elle s'approcha de moi et se figea!
Les tableaux..... Ils ne représentaient plus de gens mais des loups!? Je sentis mes dents pousser comme si des crocs me sortaient de la bouche! Ma soeur pris le tourne disque et le brisa! Puis plus rien... Sauf que... sous un vieux drap, il y avait un miroir... et je n'y voyais que moi...
Depuis ce jour, ma soeur et moi avons décidé de garder la maison. Et, pour la remercier de m'avoir sauvé la vie, je me dois de me faire des amis... pour la nourrir. Car, c'est avec imprudence que nous avons levé le mystère qui planait sur notre famille et maintenant... Il faut bien vivre...
"Gare aux ancêtres!" délirait-elle
Ma soeur avais pris une clef qu'elle tenait fortement dans sa main... Une petite clef dorée... Quelle porte pouvait-elle ouvrir? Quelle serrure voudrait de cette petite chose usée par le temps..? Quelques jours plus tard, On commença à déménager la grande maison familiale... Toute notre jeunesse passait par la grande porte pour terminer sur le trottoir ou des passants peu scrupuleux prenaient le moindre truc pour se faire du blé sur les brocantes.
"C'est bon! Tout est vide mais y'a une porte au grenier qu'on peut pas ouvrir!" me dit un gars bien grassouillet et pleurant du front le poids des objets sans âmes...
La clef! Ma soeur et moi montons donc au grenier... elle glissa la clef dans la serrure de cette minuscule porte...."clic!" Une sorte de "dépressurisation" se fit! Une odeur de "vieux" parvint à mes narines. C'était une pièce dans une pièce. Pas de fenêtre. Des dizaines de tableaux accrochés au mur, une table vermoulue, un vieux tourne-disque avec sur le coté un disque. Tout noir, pas de collant avec le nom d'un auteur quelconque... Un sillon parfait.... Il était de cire... Ma soeur bidouilla l'objet et, parmi des touffes de poils, trouva une petite manivelle. Quand le tourne-disque se mis en route, la porte se referma! Un son strident sortit du haut parleur, mais ma soeur elle n'entendait rien! Elle s'approcha de moi et se figea!
Les tableaux..... Ils ne représentaient plus de gens mais des loups!? Je sentis mes dents pousser comme si des crocs me sortaient de la bouche! Ma soeur pris le tourne disque et le brisa! Puis plus rien... Sauf que... sous un vieux drap, il y avait un miroir... et je n'y voyais que moi...
Depuis ce jour, ma soeur et moi avons décidé de garder la maison. Et, pour la remercier de m'avoir sauvé la vie, je me dois de me faire des amis... pour la nourrir. Car, c'est avec imprudence que nous avons levé le mystère qui planait sur notre famille et maintenant... Il faut bien vivre...
FIN