Conte érotique saturnien

Publié le par Boulègue

satan, sabot, salvateur, serpent, sexe


Dans l'histoire de la CBV sur Saturne (CérébrobifluoVision), il y eut une fiction qui resta dans les mémoires... Ce que vous appelez un film, mais en beaucoup plus long… Quelques jours plus longs.... Il faut dire que sur Saturne les programmes hebdomadaires de CBV sont aussi épais que l'annuaire de Manhattan, et un jour de divertissement, c'est déjà une vie pour vous... Bien, donc, recentrons et voyons donc dans les amas de mercure et de chlore se débattre les turpitudes sexuelles de mes concitoyens...

Ce programme présenté par une de nos stars du X local ne put être regardé que par les plus de 540 ans et encore avec le tugudu bivalvaire enfoncé dans une cuvette de glace... Ce qui valut à son regretté créateur de s'être, même de nuit, fait ultra violer, lors d'une conférence par des hordes de fans déchaînés jetant leur turbo carapace et leur pudeur à tous vents...
Bref, cette fiction, sur fond historico dramatique, jette pelle mêle et dans leurs tentactiles, une héroïne sudiste, lors de la guerre civile et un beau capitaine Redbutter, qui après quelques décennies d'abstinences purent enfin se tripoter allègrement le Sprountz modulable sans l'accord de leurs parents. Les scènes furent si torrides, que les quelques copies qui survécurent à la cencure, dorment sous 3000 Km de carbone enchâssé dans du quartz piégé, une scène, encore de nos jours, (celle du sabot de satan) fit découvrir une nouvelle position aux amants de notre planète et fut pour beaucoup dans l'explosion démographique qui fit pencher notre planète un peu plus vers la lune mauve.... La voici :
Imaginez, que notre héroïne, appelée Taratata, se trouve dans une maison en flamme, totalement nue, ( si l'on ne compte pas 8 tonnes de décorations ventrales finement ouvragées dans de l'amiante), se fait caresser le spritolu par le nikaouet du capitaine qui, pendant ce temps, glapitouillait langoureusement le polavis démobilisateur avec son gnocman à ressort....
Là, on ne sait trop comment, il arrive à passer par derrière son magnétron à splonche, et lui gratouille le bout de la moillettine avec une plume de serpent des abysses de floutch
[Elle réagit, et passe heureusement son bénabar du bon côté, juste à temps pour se trouver blair à blair avec le glapouillot du jeune saturnien...
Ce geste salvateur, lui permit d'éviter de recevoir un éclat de brotz sur les babelles, un soupir dans la salle, et quelques litres de glokulatz coule dans les allées parmis les spectateurs enflammés....
Mais ce ne fut pas tout car, la scène suivante, mis en action le reflexe endémique sexuel des saturniens, en leur apprenant toutes les possibilités d'accroche de leurs bréguovian sur les mouchardes de ces demoiselles

Bref, la génération qui vit cette fiction ne put sans remettre, le mot sexe chez nous est inexistant, aussi nous dirions que ceux qui virent cette fiction, connurent, la friction, sans l'affliction.


FIN

Publié dans Contes

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