Gratis Spectacularum

Publié le par Franzowsky

feu, baladin, briguandage, étable, castellet, bigoudis et jardinet (niiiiiiiiii)



Baladin...
Intéressons nous aux racines obscures de ce mot.
"Qui promène et chante"
Certains y voient un brin de brigandage car en terre d'islam, on a jamais vraiment bien démêler les relations qu'il entretient avec les Quarantes voleurs.
Toujours en Orient, les mages marchent eux par trois comme on l'observe aux abords des meilleures étables.
Ce n'est donc pas une coincidence si les nains sont sept car nous parlons d'un bas ladin, dont vous avez ci-dessus la contraction.
Car je vous la pose en mille et en cent :
Trois fois sept égalent Vingt-et-un.
Si l'on enlève le "il était une fois", nous avons vingt et c'est déjà la moitié de nos voleurs et qui sait, de cette histoire...
Revenons donc à notre baladin autour de son feu. Il chante, danse, joue.
"Tralalala".
Et dans l'ombre déjà, les esprits sombrent. L'alcool coula à flôt, et le brigandage fais son office, allègeant ici et là quelques bourses.
De nouveau nous voilà devans la suspicion que provoque cette profession. L'artiste est-il de mèche avec la faune des ruelles? Sa voix est, dirait le trappeur québecois, l'érable qui cache la forêt. Elle est en effet bien sirupeuse, et vous berce. Pour un peu vous en dormiriez debout, ou au cul de la vache dans une étable.
Voilà, la ballade est finie,
il est temps pour moi d'enfiler mes bigoudis
de me retirer en mon castellet
et si monnaie il vous manque...
je n'étais pas là je repondrais.


FIN


Gratis Spectacularum est?
(réécriture)

Baladin...
Intéressons nous aux racines obscures de ce mot.
"Qui promène et chante"
Certains y voient un brin de brigandage car en terre d'Islam,
on a jamais vraiment clairement démêlé les relations qu'il entretient avec les Quarante voleurs.
Toujours en Orient, les mages marchent eux par trois comme on l'observe aux abords des meilleures étables.
Ce n'est donc pas une coïncidence si les nains sont sept car nous parlons d'un bas Ladïn, dont vous avez ci-dessus la contraction.
Car je vous la pose en mille comme en cent:
Trois fois sept égal Vingt-et-un,
si le "il était une fois" on retient, nous comptons vingt et c'est déjà la moitié de nos voleurs et qui sait, de cette histoire...
Revenons alors à notre baladin autour de son feu.
Il chante, danse, joue. "Tralalala".
Et dans l'ombre déjà, les esprits sombrent. L'alcool à flots coula et le brigandage son office acheva, allégeant ici et là quelques bourses.
De nouveau nous voilà devant la suspicion que provoque cette profession. L'artiste est-il de mèche avec la faune des ruelles? Sa voix est, dirait le trappeur québécois, l'érable qui cache la forêt. Elle est en effet bien sirupeuse, s'écoule et vous berce. Pour un peu vous en dormiriez debout, ou dans une étable au cul de la vache!
Voilà la ballade finie,
il est temps pour moi d'enfiler mes bigoudis
de me retirer en mon castelet, finir cette nuit dans mon lit...
à ceux qui voulaient m'entendre compter 40 pour arrêter,
je trinque, remplissant une dernière fois mon verre de vin pour y arriver.
et si entre temps, monnaie à votre bourse manquait...
vous n'aviez qu'à la déposer à la banque avant de venir au banquet!
Si l'on m'accuse du larcin jusqu'à la fin je niiiiiiiiiierais!


FIN

Publié dans Contes

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